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Les écoles primaires et secondaires

L'école Rouge
En 1881, 2 ans après la découverte de l'amiante sur la colline Webb, M. Alfred Senneville accepta l'aménagement d'une classe au rez-de-chaussée de sa maison. DeNéri Allie fut le premier professeur d'Asbestos. Il enseigna les éléments de grammaire, d'arithmétique et de cathéchisme aux enfants des mineurs. En 1899, on abandonna cette classe pour une véritable école, que l'on surnomma l'École rouge à cause de la couleur extérieur. Elle était située à l'angle des chemins St-Georges et Danville. Le premier directeur fut Guillaume Brière. Il était laïc, comme l'ensemble du corps professoral. Cette école servit jusqu'en 1920 quand elle fut vendue aux enchères.
Couvent Marguerite-Du-St-Sacrement

Les religieuses de la Congrégation Notre-Dame arrivèrent à Asbestos en 1909. On leur avait construit une école pouvant recevoir 200 élèves. En 1928, on construisit une annexe qui permit l'ajout de 12 classes et on cessa d'enseigner aux garçons. En 1963, les religieuses de la Congrégation Notre-Dame quittèrent Asbestos, sauf deux qui enseignèrent à l'école Marie-Médiatrice. Le couvent fut détruit en 1967.

Collège St-Aimé

Formé de trois corps de bâtiments, le plus ancien, recouvert de bardeaux d'amiante, fut construit en 1921. La partie centrale, érigée en 1930, servait de résidence aux Frères du Sacré-Coeur. Le troisième corps date de 1942. Il abritait les locaux du niveau secondaire et une chapelle. Le collège tomba sous le pic des démolisseurs en 1969.

École Saint-Joseph

En 1949, une nouvelle communauté arriva à Asbestos: Les Soeurs de Saint-Joseph-de Saint Hyacinthe. Elles prirent la direction de l'école Saint-Joseph, construite l'année de leur arrivée. Ce fut la première institution d'enseignement de la paroisse St-Isaac-Jogues. Quatre religieuses et huit laïques s'affairèrent à éduquer plus de 450 élèves, tant filles que garçons. Après 7 ans l'école était déjà trop petite. On construisit donc une nouvelle école, terminée en 1957. Dès lors, l'école St-Joseph devint l'institution officielle de l'enseignement secondaire féminin à Asbestos. Le 5 septembre 1961, la Commission scolaire y centralisa les sections générale, scientifique et classique de la 8e à la 12e années. En 1966, l'école retourna à sa vocation première: soit l'enseignement primaire. En 1983, elle devint centre administratif de la Commission scolaire Asbesterie.

École Castonguay

1952-1953

 

devenu les Résidences Castonguay

École St-Jean

En 1958, on construisit une autre école dans la paroisse Notre-Dame-de-Toutes-Joies, soit l'école St-Jean. C'était une école laïque pour garçons où l'enseignement se faisait de la 1ere à la 7e année. En 1969, on intégra les niveaux de 7e à 10e années. L'externat classique y séjourna quelque temps. Elle redevint une école primaire mixte et reçoit maintenant les élèves de la paroisse Notre-Dame-de-Toutes-Joies.

École Notre-Dame-De-Toutes-Joies

Avec l'établissement d'une nouvelle paroisse, on décida de lui donner sa propre école et, en 1955, on entreprit la construction de l'école Notre-Dame-de-Toutes-Joies. À l'ouverture, les Soeurs St-Joseph-de-St-Hyacinthe assumèrent la direction de cette école pour filles. En septembre 1969, on laïcisa la direction. Au début des années 80, l'école fut cédée à la ville d'Asbestos qui la transforma en Centre communautaire des loisirs.

École Marie-Médiatrice

On construit cette école en 1955 dans la paroisse St-Barnabé. Les Soeurs de la Congrégation Notre-Dame y enseignèrent à des élèves de niveau primaire jusqu'en 1962. Peu de temps plus tard, l'école devint l'église St-Barnabé.

 

 

École Saint-Antoine

Le quartier Beau-site eut son école dans les années 1959-60. Elle se nomma St-Antoine et contenait 8 classes de niveau primaire. C'était surtout des garçons de la paroisse Notre-Dame-de-Toutes-Joies qui la fréquentèrent jusqu'en 1969. À cette date, l'école recueillit des élèves de niveau secondaire de l'école St-Aimé. Cependant, cette nouvelle orientation ne dura que très peu de temps, puisque l'école St-Antoine fut démollie en 1969. Elle devint aussi une école qui accueillit les élèves de l'enfance exceptionnelle jusqu'au moment de l'intégration de ceux-ci dans les classes régulières. Elle s'agrandit et se transforma pour devenir l'école La Tourelle en 1983 afin de recevoir les élèves du Beau-Site et des Trois-Lacs.

École La Tourelle

L'école St-Antoine, construite en 1959-1960 est devenue l'École La Tourelle.

École Saint-Gérard

En 1960, on construisit une deuxième école dans la paroisse St-Barnabé: l'école St-Gérard. La direction y était laïque et on pouvait y acceuillir les élèves dans sept classes. Quelque temps après sa construction, l'école n'accueillit que des élèves de secondaire 1. En 1977, elle devint le Centre communautaire l'Étincelle.

 

École Sacré-Coeur

L'école Sacré-Coeur a été mise en chantier le 6 mai 1967 et inaugurée l'année suivante. Cette école située sur le boulevard St-Luc, avait une direction laïque. Elle ferma ses portes en 1992 et fut réouverte à l'éducation des adultes en 1997.

École St-isaac-Jogues

La chapelle St-Isaac-Jogues fut convertie en école primaire, sous la direction d'Ulric Chaîné en 1957. Mme Antoinette Dubois prit la succession comme directrice jusqu'à la construction de l'école Marguerite Bourgeoys, en 1967-68.

École Marguerite Bourgeois

Le 28 août 1901, MM. les commissaires d'Asbestos, jugeant nécessaire l'accueil d'une communauté religieuse pour permettre un enseignement plus complet, demandèrent à Mgr LaRocque l'autorisation de recevoir 4 religieuses. Les religieuses de la Congrégation Notre-Dame acceptèrent l'invitation, mais ce n'est qu'en 1909 qu'elles arrivèrent à Asbestos. Entre-temps, une école avait été construite sous la direction du curé Castonguay. 200 élèves, filles et garçons, s'inscrivirent aux cours primaire et secondaire. L'enseignement était assuré par 3 religieuses et 2 laïques. En 1928, on constuisit une annexe au couvent et ceci permit l'ajout de 12 classes. Quelque temps auparavant, le couvent cessa d'enseigner aux garçons. En 1961, l'école Marguerite-du-Saint-Sacrement devint une école exclusivement élémentaire au profit de l'école Saint-Joseph qui acceuillit les élèves de niveau secondaire. En 1963, les religieuses de la Congrégation Notre-Dame quittèrent Asbestos, sauf deux, qui restèrent quelque temps à Saint-Barnabé. Le couvent fut démoli en 1967 pour favoriser l'expansion de la mine.

High School

Devenue l'école d'Arts et Métiers puis l'école Jean XXIII et puis détruite.

École Saint Élisabeth

Construite en 1964, elle porte le nom de la fondatrice de la Communauté des Soeurs-de-St-Joseph de St-Hyacinthe qui en assumèrent la direction. Elle accueillit des filles et des garçons de l'Externat Classique, puis devint le pavillon 1 de la Polyvalente l'Escale.

École La Passerelle

L'école St-Élisabeth est devenue l'école la Passerelle, une école primaire.

Polyvalente l'Escale

Le projet d'un campus polyvalent était discuté depuis 1965, mais il ne fut mis en application qu'en 1977, après plusieurs promesses et déceptions. Le plan de la polyvalente a maintes fois changé. Finalement, on accepta celui qui incluait 3 bâtiments soit l'école Ste-Élizabeth, l'école des Métiers et un édifice devant être construit. Le complexe polyvalent se divisait en 2 pavillons: Ste-Élizabeth et l'ancienne École des Métiers. Le 1er pavillon se charge du 1er cycle tandis que le 2e inclut les niveaux secondaires de 3 à 5 et le secteur professionnel.

Externat classique

En 1956, Messieurs les Commissaires d'Asbestos contactèrent l'archevêque de Sherbrooke à propos de la possibilité de l'établissement d'un Externat Classique à Asbestos. L'archevêque appuya le projet et, de 1958 à 1960, l'Externat occupa les locaux vacants de la première école de St-Barnabé. La première année, 23 élèves s'inscrivirent au cours et, en 1963, 238 étudiants profitaient de l'enseignement de cette institution. On y enseignait toutes les matières requises au cours classique. Malheureusement, les déplacements nombreux de même que la modification des règlements gouvernementaux, refusant maintenant la reconnaissance juridique d'une telle institution, entraînèrent sa fermeture. On intégra le secteur classique au système polyvalent.

 

 

Asbestos

Histoire

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